Ces 10 choses que vous ignorez sur les conducteurs de transports en commun !
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Ces 10 choses
que vous ignorez
sur les conducteurs de transports en commun !

On les croise chaque jour, on leur fait confiance pour nous mener à bon port, mais ce que l’on sait moins, c’est que les conducteurs et conductrices de bus et de cars ne nous conduisent pas seulement d’un point A à un point B.

Souvent méconnues, les compétences des conducteurs s’étendent au-delà de la simple conduite, incluant parfois des talents insoupçonnés !

Prêts à voyager au cœur du métier de conducteur ?

Le goût de la conduite !

Oui, mais pas que !

Outre le plaisir de conduire, les conducteurs apprécient le contact avec les voyageurs et la satisfaction de rendre service. D’ailleurs, les citoyens le leur rendent bien, puisque selon l’étude Keoscopie, 42% des Français perçoivent le métier de conducteur comme porteur de sens et utile au bon fonctionnement de la société.

La super-concentration

Véritables « yogis du volant »,
les conducteurs de transports en commun ont une capacité de concentration exceptionnelle, surpassant même celle d’experts en méditation selon le test de concentration Mindful Attention Awareness Scale (MAAS).

C’est d’ailleurs pourquoi ils font preuve d’ultravigilance pendant la conduite.

Quelle compétence s’avère également indispensable dans le métier de conducteur ?
Toutes

Au-delà de leur talent en conduite, les conducteurs savent se montrer à la fois empathiques avec les clients, particulièrement lors d’incidents, et calmes face aux situations potentiellement complexes. Ils font preuve d’un sens des responsabilités prononcé.

Si la réputation des conditions de travail des conducteurs n’est pas toujours au beau fixe, vous pourriez être surpris par les avantages et les innovations mises en place pour renforcer leur satisfaction au travail !

Selon vous, quel est le salaire brut à l’embauche d’un conducteur de transport en commun ?
2 400 € !

Le salaire des conducteurs est souvent plus avantageux qu’on ne l’imagine !

À noter qu’il s’agit d’une rémunération moyenne brute à l’embauche et pour un temps plein des salariés de cette catégorie. Les salaires varient notamment en fonction de l’ancienneté ou des accords applicables au sein des différentes filiales de Keolis.

Au-delà des salaires, les conducteurs bénéficient d’autres avantages…

…des primes et des perspectives !

Au-delà du salaire brut, s’ajoutent des primes variables liées aux services ainsi que des possibilités d’évolution. Les conducteurs peuvent s’orienter vers la conduite d’autres modes de transport (tramways, métros par exemple), ou devenir formateur ou chef d’équipe !

Est-ce que vous pensez que …

Un conducteur travaille très souvent de nuit et/ou les weekends ?

Un conducteur fait beaucoup d’heures supplémentaires à cause des aléas du trafic ?

Les horaires d’un conducteur changent tous les jours ?

En effet, les horaires de travail, parfois perçus comme contraignants, sont un point d’attention chez certains conducteurs. Alors pour assurer un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, Keolis travaille sur l’amélioration de la flexibilité et la visibilité des plannings de conduite.

Et concrètement ?

Un dispositif dédié est actuellement testé, permettant à certains conducteurs d’émettre des souhaits de services, de personnaliser leur planning voire d’échanger leurs services avec un autre collaborateur. La semaine de 4 jours est aussi mise en place dans certains réseaux opérés par Keolis !

À votre avis …

Un conducteur effectue le même trajet chaque jour.

Un conducteur peut choisir le type de bus qu’il conduit.

Un conducteur de bus a la liberté de choisir son itinéraire.

À votre avis …
Oui et non ! Dans certaines filiales les conducteurs sont assignés à une ligne, dans d’autres, ils sont polyvalents.
Oui et non ! Dans certaines villes et réseaux, il est possible d’exprimer un souhait. D’ailleurs, les bus électriques et à hydrogène sont plébiscités car ils offrent une conduite plus fluide.
Non ! Les conducteurs suivent un trajet prédéfini. Seuls les systèmes dits de « transport à la demande » varient leurs trajets selon les besoins des passagers.

Pensez-vous que vous pourriez devenir conducteur de transport en commun ?

Testez vos connaissances pour le découvrir.

Embarquement immédiat vers une nouvelle aventure professionnelle !

Est-ce que vous saviez que le besoin de recrutement de conducteurs était conséquent ? Selon vous, combien de postes sont à pourvoir à l’heure actuelle en France ?
6 000,

c’est le nombre de conducteurs manquants.
Que ce soit dans le domaine du transport urbain ou celui du transport scolaire, le métier de conducteur est confronté à un important manque de personnel, une situation qui n’est pas nouvelle mais qui s’est aggravée depuis 2020 avec la crise du Covid.

Vous êtes à la recherche d’un emploi, d’un projet professionnel ?

Postulez chez Keolis, de nombreuses offres de poste vous tendent les bras !

À votre avis, le baccalauréat est-il nécessaire pour devenir conducteur de transport en commun ?
Non !

Le seul prérequis est d’avoir le permis B !
Et lorsque ce n’est pas le cas, Keolis peut vous offrir votre chance en finançant le permis et la formation grâce à ses centres de formation.

Le Groupe travaille aussi en partenariat avec des associations pour proposer des emplois à des personnes en réinsertion.

Résultat ? Keolis a formé près de 200 apprentis en 2022 et 2023 !

Faut-il avoir un bon sens de l’orientation pour éviter de se perdre en chemin ?
Non !

Bien entendu, pas besoin d’être un as de la boussole !

Mais rassurez-vous, les conducteurs font de la reconnaissance de ligne.
Et comme pour les pilotes d’avion, ils sont en contact permanent avec des opérateurs du poste de commande centralisé.

Pensez-vous qu’il y a plus de conducteurs ou de conductrices ?
De conducteurs, mais ça bouge !

Tout est mis en œuvre pour que le métier se féminise ! En France en 2023, seul 20% des
conducteurs sont des conductrices.
C’est pourquoi le Groupe Keolis s’est fixé un objectif d’atteindre 24% de conductrices parmi les embauches en 2024 !

En tant que passager, qu’est-ce qu’on fait pour faciliter la vie des conducteurs de transport en commun  ?

Civilité et courtoisie,
les maître-mots d’un trajet réussi !

Le saviez-vous ?

46%

des conducteurs déclarent que les comportements des passagers sont la principale cause de fatigue !

Alors en tant
que voyageur :
  • On contribue à créer une atmosphère agréable à bord et on se montre poli envers les autres passagers et le personnel à bord.
  • On reste compréhensif lors d’éventuels retards ou de situations imprévues qui peuvent survenir pendant le trajet.
  • On n’oublie pas de signaler les comportements inappropriés ou les incidents au personnel de la compagnie de transport.
On partage la route dans la sécurité et la bienveillance.

Entre le trafic, les autres usagers de la route et l’impact des aménagements urbains pas toujours adaptés à la conduite d’un bus, ce n’est pas du gâteau pour les conducteurs !

Qu’on soit piéton, conducteur de voiture ou cycliste, nous sommes tous responsables du bon partage de la voirie et nous pouvons faciliter la circulation des bus. Alors, ensemble, oeuvrons pour un trafic plus fluide et voyageons sereins !

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On partage la route dans la sécurité et la bienveillance.

Entre le trafic, les autres usagers de la route et l’impact des aménagements urbains pas toujours adaptés à la conduite d’un bus, ce n’est pas du gâteau pour les conducteurs !

Qu’on soit piéton, conducteur de voiture ou cycliste, nous sommes tous responsables du bon partage de la voirie et nous pouvons faciliter la circulation des bus. Alors, ensemble, oeuvrons pour un trafic plus fluide et voyageons sereins !

Je suis un piéton :
  • J’évite de traverser juste devant un bus, même à l’arrêt.
  • J’attends à l’arrêt de bus, je reste attentif aux annonces sonores et visuelles, afin de permettre aux conducteurs de manœuvrer en toute sécurité.
Je me déplace à vélo :
  • Je fais preuve de vigilance lorsque je circule sur les voies de bus, en restant attentif aux changements de voie et en gardant une distance de sécurité.
  • J’évite de me faufiler entre les bus et les autres véhicules, ce qui peut être dangereux et perturber la circulation.
Je suis au volant de ma voiture :
  • Je respecte la priorité des bus lorsqu’ils signalent leur intention de s’insérer dans la circulation.
  • Je laisse suffisamment d’espace aux bus pour qu’ils puissent changer de voie en toute sécurité.
  • J’évite de stationner ou de m’arrêter dans les zones réservées aux bus, ce qui peut entraver leur passage et causer des retards.
On privilégie le bus
pour se déplacer !

Quelque part, prendre le bus, c’est bien plus qu’un simple choix pour se déplacer, c’est une manière de soutenir le métier d’une part, et d’encourager la mobilité partagée d’une autre !

Si les bus sont principalement alimentés au diesel aujourd’hui, de plus en plus de bus roulent aux énergies bas carbone, comme l’électricité ou l’hydrogène. Ils présentent une solution durable pour décarboner ses trajets, courts comme longs !

Et c’est d’autant plus significatif dans les zones urbaines, où les 2/3 de la population résident. Avec un nombre aussi élevé de personnes sur les routes, le bus offre une solution efficace pour décongestionner les axes routiers.

Le saviez-vous ?

1 bus transporte en voyageurs l’équivalent de

40 à 50

voitures en passagers !

On l’a bien compris, les conducteurs de transport en commun assurent le bon fonctionnement de nos territoires, en garantissant la mobilité quotidienne de
millions de personnes vers leurs destinations, que ce soit pour nous permettre de rentrer chez nous après une journée de travail, de rendre visite à un ami cher, de se rendre au cinéma ou d’aller voir un match de foot !

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