Quiz : êtes-vous incollable sur la com’ durable ?
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Quiz : êtes-vous incollable sur la com’ durable ?

C’est parti ! Quelques minutes suffiront pour plonger dans ce quiz en 13 questions, où la difficulté grimpe aussi sûrement que les degrés depuis le XIXe siècle. 🥵

Pas de pression : quel que soit votre score, personne ne saura, promis. On ne revend pas vos résultats à l’ARPP ni à l’ADEME (ni à la personne responsable de la RSE dans votre entreprise). 🙃

Si ce quiz éveille votre curiosité ou vous donne envie d’aller plus loin, n’hésitez pas à nous appeler. On est là pour ça. 📞 Allez, bon courage… et bon quiz !

Niveau 1 :
petit bambou de la com’

Accrochez vos ceintures…

…aujourd’hui, Internet représente 3 à 4 % des émissions de gaz à effet de serre dans le monde et 2,5 % de l’empreinte carbone nationale !

Si rien n’est fait pour en réduire l’empreinte, elle pourrait augmenter de + 60 % d’ici à 2040, soit 6,7 % des émissions de GES nationales.

 

Source : Arcep

Glou glou glou…

… 6,4 milliards de litres d’eau soit l’équivalent de
2 500 piscines olympiques ont été engloutis pour refroidir les centres de données de Microsoft en 2022.

Une quantité en partie liée au développement de l’IA et qui va exploser dans les années à venir (non ce quiz n’a pas été fait par ChatGPT).

 

 

Source : Microsoft

La croisière ne s’amuse plus !

800 000 à 900 000 tonnes !

C’est d’autant plus ahurissant que 40% des prospectus partent à la poubelle selon l’ADEME.

 


Sources : Stoppub, ADEME​

Quelle est la part des Françaises qui estiment ne pas être correctement représentées dans les publicités ?
Plus d’un tiers !

39% des femmes (et 47 % des hommes) estiment ne pas être représentés de manière réaliste dans les contenus de marque. Signe que pour presque la moitié des Français, les publicités restent stéréotypées.

 

 

Source : Kantar

Niveau 2 :
Bouleau pub’escent

Héberger léger

Les structures qui hébergent nos contenus numériques sont bel et bien physiques avec un impact carbone loin d’être neutre.
Pour réduire significativement leur empreinte, on peut se tourner vers des serveurs qui tournent aux énergies renouvelables.

Les petits fours…

… ça peut peser lourd.

Les événements physiques, surtout ceux de grande envergure, ont un impact CO2 important. Cela s’explique par le transport des participants (souvent la plus grosse source d’émissions), la consommation d’énergie pour les lieux, les repas, et souvent des déchets importants.

Quelles précautions doivent être prises dans les publicités visant des publics sensibles (enfants, seniors, personnes en situation de handicap) concernant l’inclusion, selon l’ARPP ?
Pas de cliché…

…de stigmatisation ou de stéréotypes.
Les publicités doivent respecter des principes éthiques en s’adressant à des publics sensibles (enfants, seniors, personnes en situation de handicap). Elles ne doivent pas renforcer des stéréotypes négatifs ou présenter ces groupes comme fragiles. Au contraire, elles doivent les représenter de manière positive, valorisant leur autonomie et leur inclusion dans la société.

Montrer les +++

Personne n’aime être pointé du doigt. Plutôt que de jouer les moralisateurs, faites voir à vos clients ce qu’ils gagnent à être responsables.
Moins de dépenses, plus de bien-être… Ça donne envie non ?

Niveau 3 :
Séquoia géant

Les standards élevés

Le but de la CSRD est de rendre les rapports de durabilité aussi transparents que les rapports financiers. Elle impose des normes standardisées pour que les entreprises européennes (ou opérant dans l’UE) fournissent des données comparables et fiables sur leur impact environnemental, social et de gouvernance. Cela permet aux parties prenantes de mieux évaluer et comparer leurs engagements, éliminant ainsi le « greenwashing » grâce à des données concrètes.

Nat’ ou pas nat’ ?

Les allégations comme « naturel » doivent être clairement définies et justifiées. L’ARPP interdit l’utilisation de termes vagues sans preuves concrètes, car cela peut induire en erreur les consommateurs (greenwashing). Les entreprises doivent fournir des informations précises sur la composition et l’impact environnemental de leurs produits pour justifier leurs revendications.

L’utilisation

… des produits vendus ! Les émissions de scope 3 incluent toutes les émissions indirectes qui résultent des activités d’une entreprise mais qui ne sont pas directement contrôlées par celle-ci.

Parmi ces émissions, celles liées à l’utilisation des produits vendus sont particulièrement significatives, car elles reflètent l’impact environnemental des produits une fois qu’ils sont entre les mains des consommateurs.

Quelle proportion des émissions totales d’une entreprise les émissions de scope 3 peuvent-elles représenter ?
+ de 70 %

Partie immergée de l’iceberg, les émissions de scope 3 incluent tout un arsenal d’émissions liées à la chaîne d’approvisionnement, à l’utilisation des produits, et à la gestion des déchets. Autant dire que ces émissions ont souvent un impact bien plus important que les émissions directes (scope 1) et celles liées à l’énergie consommée (scope 2).

Comment communiquer si l’entreprise ne parvient pas encore à maîtrise l’ensemble des émissions du scope 3 ?
Être honnête !

Admettez que le scope 3, c’est le niveau ultime de la gestion des émissions, mais que vous êtes en chemin, malgré les embûches. Transparence, engagement, et un brin d’humilité : voilà la clé pour une communication responsable (et crédible) !

Aors, satisfait de vos résultats ou c’est un peu la catastrophe climatique en cours niveau score ? Quoi qu’il en soit, pas de panique, on est là pour vous accompagner si besoin. 🌱💡

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