Une petite question
en préambule
Sachez que dans ces 3 situations vous êtes…
un ambassadeur du CNES !
De façon générale, un ambassadeur est une personne qui parle positivement d’une entreprise ou d’une institution.
Il peut s’agir d’un client, d’un salarié, d’un partenaire, ou de toute personne de la société civile : leur point commun est d’adhérer à vos valeurs, de soutenir votre entreprise et de vous recommander auprès de son entourage.
Tous ambassadeurs
du CNES ?
Chacun des 2350
salariés joue de facto un rôle d’ambassadeur : vous parlez régulièrement du CNES autour de vous.
En tant qu’ambassadeurs,
votre contribution
EST IMPORTANTE
Vos réseaux propres présentent un potentiel important de visibilité,
un public plus large peut être atteint par votre intermédiaire.
L’attractivité du CNES repose sur son capital humain : vous !
L’engagement, la passion, la fierté et le haut niveau d’expertise des salariés sont autant d’atouts qui y contribuent.
Votre témoignage est capital, car il contribue à façonner notre réputation, notre marque employeur et influe par conséquent sur l’image et l’attractivité du CNES.
Et vous la transmettez à des futurs candidats, notamment les plus jeunes !
La mission d’éducation et les enjeux de transmission font partie des objectifs du CNES depuis sa création. C’est une vraie mission d’intérêt général qui vous tient à cœur et qui donne du sens à notre action collective.
Communication institutionnelle et prise de parole individuelle sont complémentaires, à condition de porter des messages cohérents.
Vous devez pouvoir vous exprimer en toute sécurité, pour vous et pour le CNES.
En définissant le cadre de votre prise de parole et en vous proposant des outils adaptés, l’objectif est de vous faciliter cet exercice.
Dans tous les cas, quelque soit votre métier, vous pouvez avoir besoin de présenter le CNES et ses activités.
On y va ?
De quoi parler et à qui ?
Quelques exemples de prises de parole
Comment parler du CNES ?
L’écosystème spatial se diversifie beaucoup,
la multiplicité des acteurs rend le paysage moins lisible pour le public, en particulier celle du CNES.
Dans ce contexte, réaffirmer et conforter l’usage de notre marque « CNES » et de tous ses marqueurs identitaires associés est essentiel : logo du CNES, charte graphique, terminologie.
Le CNES n’étant pas très connu du grand public, l’utilisation simultanée de plusieurs locutions tendent à brouiller le message.
Le développé « Centre national d’études spatiales » ne doit pas être utilisé en communication : l’objectif est d’habituer le public au mot « CNES ».
Notre logo contient le développé « Centre national d’études spatiales » pour expliciter l’acronyme lorsque c’est nécessaire.
D’après un sondage, 55% d’entre vous présente le CNES comme « agence spatiale française » auprès du grand public.
Par analogie aux agences spatiales de tous les autres pays (et notamment la NASA), on comprend mieux de quoi il s’agit.
Elle occulte néanmoins une partie de l’activité et de la spécificité du CNES : son rôle de centre technique, et réduit le CNES à une agence de financement. Vis-à-vis d’un public plus connaisseur, elle peut donc se révéler contre-productive.
Environ 40% d’entre vous décrit le CNES comme « la NASA française » ou une formulation proche.
On ne peut pas réduire le CNES à une simple transposition géographique. La NASA et le CNES partagent beaucoup de points communs, mais elles se distinguent aussi par leur périmètre d’activité.
Présenter le CNES comme un clone de la NASA risque d’affaiblir notre discours et notre positionnement propre.
Alors comment parler du CNES efficacement ?
Une ligne de conduite :
installer le mot « CNES » dans toutes les têtes !
- Pour des publics professionnels et ceux qui connaissent déjà le CNES (y compris les salariés) :
CNES est le seul nom qui doit être utilisé et affirmé.
Aucune autre locution ne doit être utilisée (aucune autre n’est nécessaire !)
- Pour un public qui ne connaît pas encore le CNES (grand public, jeunes notamment)
Vous pouvez expliquer le nom CNES en utilisant l’expression « agence spatiale française », avec les précautions suivantes :
– À l’oral plutôt qu’à l’écrit
– Si vous devez l’écrire, ne mettez pas de majuscules : il s’agit d’une explication et pas d’une forme officielle ou statutaire
– Ne l’utilisez jamais seule, assurez-vous de toujours utiliser le mot CNES
– Ne répétez pas cette locution : après l’avoir employé la 1ère fois, revenez au mot CNES
Parler « du CNES » ou « au nom du CNES » ?
Il y a une différence entre parler « au nom » du CNES et parler « à propos » du CNES, de ses activités ou de ses partenaires.
En dehors des porte-paroles (Comité exécutif), la DCO est la seule structure pouvant s’exprimer au nom du CNES. Cette prise de parole suit les processus de validation auprès des experts, quel que soit le canal, et peut vous associer directement à des opérations de communication.
En revanche, en tant que salarié, vous êtes régulièrement amenés à parler du CNES (i. e. à propos du CNES), aussi bien dans votre sphère professionnelle que votre sphère personnelle.
Ayez néanmoins conscience du fait que, malgré toute la vigilance que vous y apporterez, votre public risque de ne pas toujours bien faire la part des choses… : dès lors, vous devenez de facto porteurs de la parole du CNES à leurs yeux, même si ce n’est pas votre intention.
Il y a une différence entre parler « au nom » du CNES et parler « à propos » du CNES, de ses activités ou de ses partenaires.
En dehors des porte-paroles (Comité exécutif), la DCO est la seule structure pouvant s’exprimer au nom du CNES. Cette prise de parole suit les processus de validation auprès des experts, quel que soit le canal, et peut vous associer directement à des opérations de communication.
En revanche, en tant que salarié, vous êtes régulièrement amenés à parler du CNES (i. e. à propos du CNES), aussi bien dans votre sphère professionnelle que votre sphère personnelle.
Ayez néanmoins conscience du fait que, malgré toute la vigilance que vous y apporterez, votre public risque de ne pas toujours bien faire la part des choses… : dès lors, vous devenez de facto porteurs de la parole du CNES à leurs yeux, même si ce n’est pas votre intention.
59%
des consommateurs considèrent les collaborateurs comme la source la plus crédible pour découvrir une société.
(Source : Baromètre Edelman Trust 2022)
50%
des internautes publient des informations et renseignements sur leur entreprise.
(Source : Baromètre Edelman Trust 2022)
5 à 6 x
plus de visibilité est obtenue pour les posts issus de collaborateurs par rapport à ceux publiés par la marque. Cela signifie une portée moyenne 500 à 600% supérieure pour un message publié par un collaborateur.
Alors, êtes-vous prêt
à vous exprimer en toute sécurité ?
Faites le test !
Sur les réseaux sociaux, vous pouvez aussi bien rédiger vos propres contenus au sujet d’un projet ou de votre métier que relayer des contenus publiés par le CNES et vous exprimer sur différents réseaux sociaux (Linked In, Facebook, X, etc.), tant que :
- Vous respectez le principe de neutralité
- Vous faites la part des choses entre vie pro et perso
Pour différencier ce qui relève de votre vie privée et ce qui relève de votre vie professionnelle, mesurez la porosité entre les deux et les risques associés ! En cas de doute, demandez-vous : qui aura accès à mon contenu ? Quelles conséquences pour moi… et pour le CNES ?
sur les médias en ligne :
- Ne répondez pas à la provocation des « trolls » : ils entretiennent généralement les conversations dans le seul but d’agacer les autres utilisateurs.
- Evitez de réagir à chaud : prenez le temps de la réflexion, mesurez vos propos avant de les publier ou demandez un avis.
- Evitez de dévoiler vos informations et données personnelles. Si vous postez des contenus en tant que salarié du CNES, votre seule « obligation morale » est de présenter votre nom et votre fonction, par souci de transparence.
- Assurez-vous de disposer des droits d’utilisation des contenus (image/vidéo en particulier) que vous publiez.
Pour en savoir plus parcourez le module « s’exprimer sur les réseaux sociaux ».
Pensez toujours aux mesures de sécurité !
Si vous communiquez un savoir-faire ou un élément technologique, faites attention aux détails des photos, assurez-vous qu’aucun secret industriel ne risque d’être dévoilé.
En tant qu’expert de votre sujet / au titre de votre fonction, vous êtes le mieux placé pour connaître et faire respecter les règles de confidentialité qui s’appliquent.
La bonne réponse est « ingénieur, ingénieure » !
À ce jour, conformément aux circulaires gouvernementales et à la proposition de loi du 31 octobre 2023 :
- L’écriture inclusive est proscrite : n’utilisez pas de procédés visant à faire apparaître simultanément les formes féminines et masculines d’un mot
- Utilisez les règles grammaticales et syntaxiques de rigueur
- Féminisez les métiers et fonctions (en vérifiant leur existence)
- Respectez l’égalité femmes/hommes dans toutes vos communications
- Évitez les représentations stéréotypées
Bon à savoir : ces règles sont celles promues à ce jour par le Ministère de l’Education nationale, de la Jeunesse et des sports, elles ont toute leur importance lorsqu’on s’adresse aux jeunes !
Mettez-vous à la place de votre public :
- Évitez l’usage abusif des acronymes, développez-les s’ils sont nécessaire ou paraphrasez
- Évitez les sigles utilisés en interne
- Évitez l’usage abusif du jargon technique
« Hexagone ou France hexagonale »
conformément au texte de loi voté à l’Assemblée le 25 mai 2023.
Avant une présentation, prenez le temps de bien vous préparer, c’est la clef d’une intervention réussie !
Retrouvez tous nos conseils dans le module « S’adresser au grand public ».
Si vous êtes contactés directement par un journaliste, ne cédez pas à la tentation de répondre immédiatement. Avertissez le service presse qui pourra vous accompagner.
En complément, consultez le module presse pour préparer votre intervention.
Les derniers conseils avant de se lancer
Découvrez nos outils pour préparer vos prises de parole !
Des bases de présentation adaptées à chaque public et contexte, à personnaliser en fonction de vos besoins.